Actualités 2024

C’est dans le cadre d’une adjudication publique à la bougie animée par M. Arnaud Saison et Mme Peggy Pusseli, représentants désignés par le comptable assignataire de la commune, que le lot de chasse n° 1 de la commune de Lommerange a été attribuéà Monsieur Joseph Kaizer pour la somme de 1530 €.

Le terme adjudication à la bougie vient du fait que la durée de l’enchère est limitée à la consumation de trois petites bougies qui, lorsqu’elles s’éteignent, laissent monter une fumée indiquant leur extinction. Si aucune enchère n’intervient pendant la durée de leur combustion, l’adjudication est prononcée au plus offrant et dernier enchérisseur. Aussi surannée que l’expression puisse paraître, elle s’impose encore dans bien des ventes et adjudications, notamment de chasse.

Dans le cas présent, après la mise à l’écart par la commission communale consultative de la chasse d’un autre candidat à l’adjudication, M. Kaizer était seul à postuler à ce lot de chasse de 222 ha dont 1 ha de forêt.

« Dura lex sed lex » La loi est dure, mais c’est la loi ainsi que le disait le jurisconsulte Domitius Ultpenius. Alors que cette adjudication ne comptait plus qu’un seul candidat, le respect de la procédure imposait le recours à ces trois lumignons.                                                

L’adjudication publique des lots 1 et 2 de la chasse communale était prévue pour cet après-midi 11 janvier 2024 à 14 h.

En raison d’un correctif devant être appliqué aux conclusions de la Commission  consultative communale de la chasse qui s’était tenue en date du  5 janvier 2024, l’adjudication publique de cet après-midi  ne concernera que le lot n° 1 la chasse communale.

Explications :

Lors de l’examen du dossier d’un candidat à l’adjudication du lot n° 2, l’engagement de valider son permis de chasse durant toute la durée du bail a été déclaré manquant.

Il s’avère que son dossier comportait le paragraphe suivant : «  g) Je soussigné, m’engage à valider, chaque année mon permis de chasser durant toute la durée du bail. ».

Il y a lieu de constater que le dossier de ce candidat a été invalidéà tort. Aussi, dans un souci d’équité et afin d’éviter tout contentieux inutile, ai-je pris la décision de rétablir cette personne dans son droit à candidature pour le lot n° 2. Après consultation de la Préfecture, de la DDT et de la Fédération des chasseurs, faut-il préciser.

Pour ce lot 2, il faudra que le conseil municipal rectifie sa délibération en approuvant les deux candidatures conformes au cahier des charges. Ce qui autorisera l’adjudication publique de ce lot 2.

D’Algrange, nous apprenons le décès de Georges Nicolas survenu le 7 janvier dernier.

Issu d’une vieille famille locale, Georges Nicolas était néà Lommerange le 20 mai 1933.

De son union avec Marie-Thérèse Locatelli, le 15 janvier 1954, étaient nés quatre enfants : Robin, Guy, Cathy et Fabienne qui lui avaient donné sept petits-enfants.

Mineur de fond à la mine de Tucquegnieux où il travailla pendant trente ans, Georges et sa famille s’étaient éloignés de Lommerange pour y revenir en septembre 1987.

Impliqué une première fois dans la vie communale en tant que conseiller municipal élu à la faveur des opérations de vote des 8 et 15 mars 1959, Georges allait repiquer à la chose publique en se faisant élire puis réélire de 1989 à 2001

Homme de terroir, il aimait son environnement qu’il avait arpenté, des années durant, au travers d’activités diverses telles que garde, chasseur ou pêcheur.

Comme tous les hommes de sa génération, il avait fait la guerre d’Algérie. En avril 1954, il était parti à l’armée. Tout d’abord à Lunéville pendant six mois puis en Algérie dans la région de Soukharas où il est resté dix-huit mois dans les chars du 15/8.

 Maintes fois décoré, il avait fait partie de la section lommerangeoise des anciens combattants UNC jusqu’à la dissolution de cette dernière.

Le corps de Georges Nicolas sera déposéà la salle mortuaire de Fontoy à compter du mercredi 10 janvier à 14 heures. Ses obsèques seront célébrées en l’église Saint Léger de Lommerange le lundi 15 janvier à 14 h 30. Selon sa volonté, son corps sera incinéré.

A son épouse Marie-Thérèse, à ses enfants ainsi qu’à toute sa famille, nous présentons nos sincères condoléances.

Les illuminations s’éteignent. On range guirlandes et décors extérieurs. On remet dans les cartons les ornementations que l’on ressortira dans onze mois.

L’épiphanie (6 janvier) vient clore les fêtes de fin d’année. C’est l’occasion pour Anne-Marie et Stani de remiser leur village de Noël qui s’est enrichi d’année en année.

Les petits-enfants sont exigeants, aussi revient-il aux grands parents de bonifier ce monde féérique de Noël qu’ils ont créé sous leur toit.

Leur petit village, plein de romantisme dans sa parure de Noël, s’étoffe au fil des ans. Prenant une bonne partie du salon, il est constitué d’un assemblage de petites maisons à colombages, de décors hivernaux peuplés de personnages multiples, de crèches et d’anges.

Juste ce qu’il faut pour satisfaire ce merveilleux dont ont besoin les plus petits. Un merveilleux dont ils se souviendront bien longtemps après qu’ils auront quitté le monde de l’enfance.