La pollution sonore relève de sons se situant hors des plages horaires où ils sont autorisés, qui créent une gêne du fait de leur caractère répétitif ou de leur niveau trop élevé, qu’ils soient diurnes ou nocturnes.
De plus en plus de plaintes sont émises en mairie souvent contre les mêmes personnes accusées de se moquer impunément des obligations du vivre ensemble.
Les bruits mis en cause peuvent relever de comportements inappropriés, d’activités, d’outils, d’accessoires divers ou d’animaux.
Un arrêté municipal du 11 septembre pourrait régler le problème sous réserve qu’il soit respecté. Le non-respect de cet arrêté pourra être sanctionnés par des amendes allant de 68 €à 180 €.