Quatre pneus et une centaine de kilos de ciment colle ont été signalés par un arpenteur de la nature à la Croix Thomas.
Essentiellement du ciment colle frais à peine gâché, témoin d’un travail au noir de proximité, d’un chantier clandestin mené dans la plus grande discrétion avec probablement des tacherons que l’on dépose et que l’on récupère hors tout véhicule sérigraphié.
L’impertinence et la nocivité de ces écarts de comportement qui se soldent par une atteinte à la nature fait regretter l’insuffisance des moyens des services du Travail et des Impôts.
Autre comportement méprisant et condamnable, ces sacs jetés dans la benne à déchets verts qui pourraient entraîner un refus de la benne au broyage et au compostage. Avec une conséquence financière sur le coût du traitement.
