Surgi d’une végétation effeuillée par l’hiver, l’arbre mort s’étire vers un ciel que rien ne distingue du manteau neigeux recouvrant le sol.
Une dominante gris-blanc unit ciel et terre dans une image coupée par un boqueteau et lacérée par les piquets et les fils des clôtures.
Depuis des années, l’hiver met en valeur cet arbre discret du chemin de Sancy.